Bassin de PAM : rêver, écouter, créer à la médiathèque

Rêver, écouter, créer.

Ces activités demandent du temps et de la disponibilité.
Parfois elles nous semblent impossibles. Mais si nous acceptions de les considérer comme étant vitales au même titre que tout besoin primaire nous y serions plus attentifs, peut-être?

Ce sont des moments précieux que ceux-là. Prenons-en soin. Dès l’enfance. Sans oublier que les années additionnent les contraintes, que l’horizon se brouille et que nous risquons ainsi de perdre nos rêves les plus chers sans les incarner jamais.

A la Médiathèque de Vandières, ce matin-là, j’ai animé un atelier « Conte à peindre » pour des enfants de 3 à 6 ans.
Ils étaient bien là, 7 enfants (chiffre magique !).
Nous avons fait connaissance, comme il se doit, puis nous avons glissé dans le conte d’un musicien égaré dans une sombre forêt qui rencontre des fées et qui en restera marqué longtemps, très longtemps…

L’affiche annonçant l’atelier



Conter masquée.
Les enfants restent pourtant très attentifs aux aventures du musicien.

A chacun son inspiration.





Fées ou princesses ?

Quelques uns des dessins réalisés au cours de l’atelier.




Merci à Christine Noirot pour son accueil chaleureux et son souci du bien-être de chacun à la Médiathèque de Vandières.


_________________________________________________________________

L’après-midi de ce même jour, à la Médiathèque de Blénod-lès-Pont-à-Mousson, j’ai animé un atelier « Tataki zome » pour adultes et adolescents.

Là aussi, tout était prêt. Chaque participante (eh oui, parfois il n’y a pas d’hommes) était venue avec son équipement (planchette, marteau), des carrés de coton, des T-shirts, voire du linge de maison (serviettes, torchons) et des végétaux, cueillis dans la nature ou dans les jardins.

Les végétaux sont variés et la surprise est toujours au rendez-vous.



Le jeu des couleurs tient en haleine.





La diversité des végétaux incite à faire de nombreux essais pour jouer avec les nuances et les formes.










L’étape de la révélation et de la fixation des impressions est importante. Cela fait penser au développement des photos sur papier

Voici l’une des impressions
au séchage.


















L’atmosphère a été concentrée tout l’après-midi et les marteaux faisaient un jeu de percussion au rythme soutenu. Mais, heureusement, les participantes ont pris le temps d’aller voir les résultats du martelage chez l’une ou chez l’autre.
Que les ateliers soient un moment de partage et d’échanges enrichit encore la teneur de ces moments.


Merci à Michelle Baron pour son accueil chaleureux et son implication dynamique dans ce projet à la Médiathèque de Blénod-lès-Pont-à-Mousson.

_________________________________________________________________

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *